Le Bachelor [inter]action ne repose pas sur une logique disciplinaire mais s’organise autour de deux axes principaux qui eux-mêmes ne sont pas réductibles à des disciplines mais les traversent : les pratiques d’action et les médias digitaux.
Privilégier l’action dans une pratique d’arts visuels permet de s’ouvrir à toutes sortes de moyens (photographie, vidéo, performance, etc.), mais aussi à d’autres disciplines comme la danse ou le théâtre. Avec l’action, on peut aussi quitter la sphère institutionnelle de l’art et son milieu pour se nicher dans des médias sociaux ou concevoir une pratique au bord de l’activisme.
Investir les médias digitaux dans les arts, que ce soit en travaillant avec les images numériques, en inventant de nouveaux usages des réseaux sociaux ou de nouveaux formats de création, peut s’entendre au registre de l’action. Mais nous explorons aussi dans cette option les images, les imaginaires et les récits produits et véhiculés dans et par les milieux numériques.
Entre ces deux axes, à leur interaction, on trouve des corps appareillés et prolongés, des partitions et des automations, des problèmes critiques et éthiques qui accompagnent de nouvelles manières d’agir et des questions esthétiques relatives à des manières d’exposer.
18.06
14h – Ayomide Tejuoso
16h – Zoé Gronchi
17h30 – Samuelle Etienne
19.06
14h – Amara Mani Fossati
15h30 – Jeanne Dufour